Si un jour mes yeux s’envolent
Dans l’oubli de l’inconscience
Et que mon raisonnement erroné
Va vers l’imperfection de mes actes,
Daignez me réserver votre sourire
Qui réveillera ma conscience morte
Et qui poussera mes instincts absents
À courir vers la justice idéale.
Frères de mon Peuple, si un jour,
Je deviens loser par accident,
Faites revivre en vous la tolérance
En hissant nos liens de la fraternité.
Sœurs de mon monde, si un jour,
Mes yeux me cachent votre présence
Et mes peines combattent votre existence,
Réveillez-moi pour qu’on sourit ensemble la paix.
Auteur: Armand M. ESSO
Sous l’ombre du Peuple