
La commune d’Agoè-Nyivé 1 a vibré durant les trois premières journées de la campagne électorale pour les municipales du 17 juillet, sous le signe d’une opération de charme et de proximité menée par le mouvement citoyen TOVIA. Une centaine de militants ont été déployés dans toutes les localités, lançant un message fort : agir avec compétence, servir avec le cœur.
TOVIA a adopté une approche innovante, invitant les habitants à ne plus attendre, mais à construire ensemble un avenir meilleur. Leur programme repose sur des actions concrètes visant à améliorer la vie quotidienne des citoyens. Parmi les propositions phares figurent la réfection des routes pour faciliter la circulation, même en période de pluie, l’organisation d’un ramassage régulier des ordures pour des rues plus propres, ainsi que le soutien aux familles en difficulté à travers des aides alimentaires.
Le mouvement ne se limite pas à l’amélioration des infrastructures. Il met également un accent particulier sur l’autonomisation des jeunes et des femmes. Des formations seront proposées aux jeunes pour faciliter leur insertion professionnelle, tandis que les femmes porteuses de petits commerces ou projets bénéficieront d’un soutien pour améliorer leurs revenus.
L’écoute des habitants est au cœur de la démarche de TOVIA. Des rencontres régulières seront organisées pour discuter des véritables problèmes rencontrés par la population, faire le point sur les actions menées, et encourager la participation citoyenne dans la prise de décisions. Ce programme ambitieux témoigne de la volonté de TOVIA de bâtir une commune plus solidaire, dynamique et inclusive.
En misant sur la proximité, la transparence et l’engagement, le mouvement espère mobiliser la population et insuffler un nouvel élan à Agoè-Nyivé 1. Les habitants ont désormais l’occasion de faire entendre leur voix et de participer activement à la transformation de leur quartier. La campagne de TOVIA promet d’être un tournant décisif dans la vie politique locale, en plaçant l’humain au centre de toutes les préoccupations.
L’Émissaire