
Ce n’est toujours pas la stabilité entre les responsables de la MSC-Togo et les transitaires. Pendant ces moments difficiles ou le Covid – 19 fait son petit bonhomme de chemin, les services de la Société de Maison de Consignation ( MSC) devient plus en plus médiocre. Après plusieurs revendications, ce vendredi 24 Avril 2020, les transitaires montent de nouveau au créneau pour dire non à la lenteur dans le processus des documentations à savoir les facturations , les bons à délivrer , problème de caisse et les processus dans les formalités au niveau de la LCT.

Des transitaires du MSC son en débrayage depuis la semaine dernière. Selon les manifestants le mouvement ,c’est pour exiger la rapidité des documentations. Ils faut que les factures parviennent à moin de 24 heures. Dès que les factures sont arrivées, il faut que le bon à délivrer soit immédiatement livré et que les formalités qui doivent se dérouler à la LCT soit dans les normes possible.
« Au cours de cette pandémie, coronavirus nous déposons les factures.elles demandent que les choses doivent être faites en ligne. Nous respectons ces conditions mais elles n’arrivent pas à nous satisfaire. Plus le temps passe, le MSC nous ne fait que nargué en mettant les factures en jachère. Dans le cas normal une facture ne doit pas dépasser 24 heures. Ici au MSC, les factures font 3 semaines voir un mois. Alors que les clients affirment que la surestarie doit être payer par les transitaires. » , a expliqué un manifestant.
À cet effet, le MSC, est un leader mondial du transport de conteneur international, une société qui offre un service de couverture globale avec une expertise locale. Le MSC fournit également un réseau intégré de ressources de transport maritime, ferroviaire et routier couvant le monde entier. En 2019, MSC a fait venir un total de 467 navires à Lomé. Les navires opérés au Togo par MSC sont parmis les plus modernes, les plus longs et offrant les plus grandes capacités. L’année 2020-2021 devraient être des années favorables au développement de ces zones logistiques mais n’arrive pas à satisfaire la plupart des transitaires qui opèrent sur leur plateforme.
Pourquoi la satisfaction devient une tristesse et une mélancolie pour les transitaires ? À quoi serait dû ce dysfonctionnement permanent et redoutable ? À quand la fin des peines que vivent les transitaires ?
S’agit – il d’un manque de compétence ?
La société dirigé par M. Grégory KRIEF qui a pour adjoint AYIVI Aristide reste inaccessible pour nous permettre d’informer les populations sur les raisons de ce manquement entre les transitaires. Pour l’instant, le phénomène continue et les factures des transitaires sont toujours en jachère.
Les transitaires comptent d’ailleurs maintenir jusqu’à ce qu’ils obtiennent satisfaction.
Pour ces transitaires qui opèrent sur la plate forme de MSC, ces troubles font fuir les clients dans les pays voisins et plombent les activités.
À suivre.
Julien SEGBEDJI.