Le Sommet Climate Chance, Afrique 2019 a lieu actuellement au Centre International de Conférences à Accra au Ghana. L’événement qui réunit des centaines de personnes venues d’Afrique et du monde entier, se veut être la continuité de la première édition en 2018 en Côte d’Ivoire. Cette année, l’événement s’étendra du 16 au 18 Octobre 2019.
L’association Climate Chance agit depuis 2019 pour la stabilisation du climat. Ceci vise l’atteinte des Objectifs de Développement Durable.
Climate Chance réunit donc des acteurs non étatiques (collectivités locales, entreprises, ONG, syndicats, communauté scientifique, représentants du monde agricole, de la jeunesse, des peuples autochtones et des femmes) fédérés autour de coalitions sectorielles, et agit en tant que catalyseur de l’action Climatique. Elle identifie et met ainsi en lumière, leurs priorités communes et leurs bonnes pratiques, pour intensifier la mobilisation sur le climat.
Le 16 octobre, premier jour de l’événement avait principalement pour objectif de former des journalistes africains sur le changement climatique. Parmi plus de 400 candidatures en provenance de toute l’Afrique, seulement 14 ont été retenus. Sur ceux-ci, on note la présence de deux journalistes togolais qui sont aussi engagés dans la lutte contre le changement climatique au travers de médias et d’organisations de la société civile. Il s’agit de Djamiou ABOUDOU (Directeur de publication du média en ligne www.lemissaire.com), et Hector NAMMANGUE (Directeur de publication de la presse en ligne www.vert-togo.com).
L’objectif de cette session est de donner aux journalistes et communicateurs africains une meilleure compréhension de l’information liée aux questions climatiques. Il vise également à donner aux médias la capacité d’intégrer les questions climatiques et environnementales dans les différents flux d’actualités.
Ils sont désormais des ambassadeurs assermentés du Togo sur les questions climatiques. Leur mission est de sensibiliser les populations sur la question et de les éduquer aux bonnes pratiques pour y faire face.
Par ailleurs, les 17 et 18 octobre seront consacrés à des questions telles que: comment les gouvernements locaux africains peuvent-ils renforcer leur coopération avec les États et les acteurs non étatiques pour lutter contre le changement climatique? Comment promouvoir la mobilité et les transports durables en Afrique ? Comment se préparer aux problèmes d’adaptation en Afrique, en particulier dans le secteur de l’eau? Etc…
A suivre…
Djami