Le dimanche 4 août 2024, l’ingénieur Pourowa Karouwé, récemment élu président du Sporting Handball Club d’Est-Mono, a lancé une semaine de rencontres avec la population de la préfecture. Cette initiative fait suite à son élection, survenue le lendemain de la fête des moissons, Odon-tsu.
Accompagné de cadres locaux et de M. Potobozi, vice-président du club et président du Mouvement des Jeunes Unir de la Préfecture, l’ingénieur a visité plusieurs villages, dont Kamaza, Ayolou, Abinga et Adibo. Son objectif : se présenter aux habitants, notamment aux femmes et aux jeunes, et échanger sur les ambitions de la nouvelle équipe dirigeante.
Lors de ces rencontres, Pourowa Karouwé a exprimé sa volonté de dynamiser le handball dans la région, en soutenant les jeunes talents pour remporter des tournois et faire briller Est-Mono sur la scène nationale et internationale. « Votre adhésion à nos côtés fera de nous et de nos joueurs un engagement infaillible vers le succès décisif », a-t-il déclaré.
Les chefs coutumiers ont salué sa démarche, assurant leur soutien total. Au nom de l’honorable député Tandjana Baketou, il a remercié la population pour son engagement envers la paix, la sécurité et le développement, des valeurs chères au Chef de l’État.
L’ingénieur a également abordé des sujets cruciaux tels que la réhabilitation des fontaines d’eau, soulignant que l’accès à l’eau est une priorité pour le Président de la République. Il a encouragé la population à rester unie et mobilisée derrière le Chef de l’État, qui a des projets pour chaque préfecture.
En outre, il a sensibilisé les habitants sur l’importance du civisme et de la citoyenneté, tout en expliquant les changements apportés par la nouvelle constitution togolaise. À travers ces échanges, Pourowa Karouwé a mis en lumière le rôle essentiel de la population dans le développement de la nation.
Cette rencontre marque un tournant pour le Sporting Handball Club d’Est-Mono, qui aspire à devenir un acteur clé du sport dans la région, tout en renforçant les liens entre la population et les autorités locales.
La rédaction
