
Le District autonome du Grand Lomé (DAGL) s’est lancé dans une nouvelle initiative visant à mieux encadrer l’urbanisation et protéger les réserves administratives de la capitale togolaise. Une étude a été lancée le mardi 27 mai pour proposer des solutions concrètes face aux défis posés par l’urbanisation non planifiée.
Cette opération, prévue sur quatre mois, a pour objectifs d’identifier les anomalies liées aux occupations illicites, d’en analyser les causes et les conséquences, notamment sur les réserves foncières de l’État, et de formuler des mesures d’action adaptées. Selon Bossa Makagni-Amelété, directrice de la planification stratégique et de l’urbanisme, cette étude s’inscrit dans la continuité de l’opération de recensement des réserves foncières de l’État, lancée l’an dernier.
Ces dernières années, le gouvernement togolais a multiplié les efforts pour renforcer la gouvernance urbaine et améliorer le cadre de vie dans les villes du pays. Un processus d’élaboration de schémas directeurs d’aménagement est notamment en cours dans plusieurs localités.
L’Émissaire